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Les dernières infos sur la co-construction des politiques publiques.
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Mots-clés festivals
Contribution de l'UFISC à la seconde édition des Etats Généraux des Festivals
Dans le cadre de la seconde édition des Etats Généraux des Festivals, qui se sont tenus le 28 juin 2021 à Bourge, l'UFISC a tenu à affirmer la multiplicité des forces culturelles et citoyennes que constituent les festivals, et la nécessité de les soutenir par la coconstruction de politiques publiques, assises sur la responsabilité en matière de respect de la diversité et des droits culturels, d'une égalité des personnes et d'une équité territoriale renforcées et d'une structuration professionnelle et citoyenne solidaire et engagée pour le développement durable.
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Dans nos sociétés en profonde transformation, l'art et la culture sont cruciaux.
Certains territoires l'ont compris : la recherche d'un développement culturel cohérent et équitable passe par la prise en compte de la diversité des initiatives et par la reconnaissance de la pluralité des modèles organisationnels et économiques. En ce sens, les acteurs culturels de l'économie solidaire représentent une alternative éprouvée et durable au phénomène de concentration industrielle.
L'action publique doit soutenir en priorité cette autre voie, basée sur les principes de solidarité, de coopération, de citoyenneté, et à visées autres que lucratives.
Nous proposons 5 pistes pour des politiques régionales et départementales qui répondent à ces enjeux, inscrites dans la continuité des propositions formulées dans le Plan de revitalisation culturelle.
>> Consultez et téléchargez la plateforme de propositions Pour des politiques culturelles régionales et départementales plus solidaires et ouvertes à la diversité sur le site dédiée : https://www.mobilisationculturelle.org/
>> Téléchargez le communiqué de presse.
>> Accédez aux ressources #Régionales2021, avec les contributions des organisations membres de l'UFISC et d'autres réseaux et collectifs régionaux : https://www.mobilisationculturelle.org/autres-contributions.html
5 pistes pour revitaliser l'art et la culture sur les territoires !
La diversité culturelle, la prise en considération des droits culturels et l'organisation démocratique et solidaire constituent une réponse pour demain. Pour cela, les politiques culturelles régionales et départementales ont pour mission d'assurer et de respecter les droits pour chacun∙e de participer à la vie artistique et culturelle.
Présentation synthétique des propositions
1- Soutenir les coopérations dans le champ culturel et solidaire
Pour amorcer des changements structurels vers un modèle plus solidaire, plus durable et plus respectueux des droits humains, à travers la mise en place de programmes d'appui aux démarches de transition et d'expérimentations coopératives.
Il s'agit notamment de soutenir les coopérations inter-associatives, les lieux mutualisés, les collectifs artistiques, les pôles territoriaux de coopération économique, les démarches de mutualisation de moyens, de pairs à pairs, les projets culturels de territoires et toutes autres formes de projets coopératifs non encore identifiés ou expérimentaux.
2- Aménager et renforcer des espaces territoriaux de coconstruction des politiques publiques des arts et de la culture
Nous plaidons pour la mise en place au niveau régional d'espaces permanents de dialogue et de coconstruction des politiques culturelles (dont les dispositifs de soutien et leurs critères d'évaluation, à chaque niveau territorial). Ils doivent rassembler sous un seul toit l'ensemble des parties prenantes de l'écosystème culturel de chaque région, et prendre appui sur les structurations d'acteur·trice·s déjà à l'œuvre, pour leur permettre de se consolider et de se développer.
En période de crise, réactivité et adaptation des politiques publiques aux contextes territoriaux sont plus indispensables que jamais.
3- Soutenir l'emploi permanent & l'emploi artistique et technique
Nous demandons aux Régions de renforcer ou redéployer des aides à l'emploi adaptées aux réalités professionnelles des structures et aux objectifs de pérennisation des postes soutenus.
Nous insistons pour un soutien tout particulier à l'emploi artistique et technique, à travers un fonds dédié à l'emploi avec des mécanismes simples, accessible à tous types d'activités artistiques et culturelles, sur la base du nombre d'artistes (intermittent·e·s ou auteur·e·s) et technicien∙ne∙s rémunéré∙e∙s.
4- Soutenir la diversité artistique et culturelle
Pour soutenir de manière durable le maillage territorial de milliers de structures culturelles et artistiques, initiatives citoyennes et non lucratives, contribuant à l'intérêt général, et portant des relations partenariales coconstruites avec les collectivités publiques, les Régions et les Départements doivent notamment :
- Privilégier les conventions d'objectifs coconstruites entre porteurs du projet et collectivités aux appels d'offre et marchés publics, qui mettent au même niveau le secteur lucratif et les associations dont ils nient la dimension citoyenne.
- Mettre en place des aides au fonctionnement pour asseoir le développement et l'évolution des structures.
- Favoriser les conventionnements pluriannuels et pluripartites avec plusieurs collectivités sur la base du projet culturel et artistique global des structures, au lieu du découpage action par action qui les précarise et installe une relation de prestation.
5- Maintenir les subventions, assouplir les règlements budgétaires et financiers et faciliter l'accès aux fonds structurels européens
Nous revendiquons le maintien de toutes les subventions jusqu'en 2024 à un solde de 100 %.
Au-delà, nous demandons également de faciliter administrativement l'accès aux financements publics que les collectivités ont en gestion.
Nous souhaitons également voir les régions mettre en place et/ou soutenir la mise en place d'outils financiers à destination des structures culturelles de l'ESS (fonds d'amorçage, fonds de garantie, capital-risque solidaire, fonds d'épargne solidaire, aides en fonds de roulement) à travers des partenariats avec la BPI, la CDC, des outils sectoriels comme l'IFCIC ou des fonds européens.
Ces propositions s'articulent avec les mesures du Plan de revitalisation culturelle pour une solidarité active, et une nouvelle dynamique culturelle et artistique.
>> Lire et télécharger l'ensemble des pistes d'action proposé dans le document "Pour des politiques culturelles régionales et départementales plus solidaires et ouvertes à la diversité" : https://www.mobilisationculturelle.org/les-propositions.html
>> Participez à la diffusion des proposition pour une politique régionale solidaire ! Téléchargez les visuels.
>> En savoir plus sur le Plan de revitalisation culturelle.
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Mots-clés associationnisme associations ESS
Quel monde associatif pour demain ?
Ouvrage collectif, sous la direction Patricia Coler (MES - UFISC), Marie-Catherine Henry (FMSH), J-Louis Laville (CNAM - FMSH) et Gilles Rouby (CAC), aux éditions Erès.
Le monde associatif est aujourd'hui à la croisée des chemins. Issu de recherches participatives entre acteurs associatifs (culture, défense des droits, éducation populaire, social...) et chercheurs, cet ouvrage envisage deux scénarios contrastés. L'un met en avant les limitations qui entravent l'action associative, les risques qui peuvent l'affaiblir. Le second, au contraire, envisage les dynamiques internes existantes ou à mettre en œuvre pour affirmer le potentiel transformateur des associations.
Cette publication aux éditions Érès est une invitation à la réflexion et à l'action.
Un ouvrage vivant de rencontres à venir :
- Jeudi 6 mai à 17h30 : Présentation officielle de l'ouvrage (visioconférence). Inscription.
- Jeudi 20 mai à 20h00 : séance spécifique de l'Université des Savoirs Associatifs du Collectif des Associations Citoyennes (en visio). En savoir plus et s'inscrire..
- Jeudi 10 juin : présentation du livre et débat dans le cadre de l'Agora de la République de l'ESS avec le MES, retransmis en ligne depuis Dijon. Informations.
En librairie le 6 mai 2021 !
Les ressources pour en savoir plus et communiquer largement sur l'ouvrage :
- Présentation de l'ouvrage
- Dossier de presse
- Calendrier des rencontres organisées autour du livre
- Vidéos de présentation
- Sommaire de l'ouvrage
- Le résumé
- Interviews croisées J-Louis Laville et Patricia Coler « Pourquoi ce livre, pourquoi ce livre maintenant ? »
Communiqué de presse « Mai 2021, publication de l'ouvrage : QUEL MONDE ASSOCIATIF DEMAIN ? Mouvements citoyens et démocratie »
Pas de société solidaire sans associations citoyennes.
Pourtant, au regard des politiques menées ces dernières années, fragilisant sans cesse leurs capacités d'actions (baisse de financement, arrêt des emplois-aidés, entraves matérielles et juridiques précarisant leurs initiatives), cette évidence semble être de celles qui, paradoxalement, ne vont pas de soi...
Dans une démarche inédite, à plusieurs voix, ce livre interpelle : quel monde associatif pour construire quelle société demain ?
Si le monde associatif fait tout autant partie de l'histoire de notre République qu'il constitue une partie de l'encre avec laquelle écrire son avenir, alors quelles évolutions souhaiter et dessiner ensemble pour les initiatives citoyennes désintéressées, non-lucratives ?
La crise sanitaire et économique actuelle montre, encore une fois, qu'en traduisant en langage d'actions pragmatiques et quotidiennes les valeurs de liberté, d'égalité, de fraternité, les associations permettent de « tenir le choc » et d'amoindrir les effets les plus catastrophiques des inégalités sociales et écologiques... Mais loin de se contenter de ces simples effets réparateurs, les projets concrets de citoyens engagées permettent surtout de se projeter dans un système socio-économique plus juste, plus soutenable, plus équitable et plus participatif.
Ici néanmoins, nulle naïveté ou idéalisation des associations mais le constat de l'importance des actions de la société civile organisée pour éviter le repli sur soi et le désarroi qui font le lit de l'autoritarisme et menacent la démocratie.
Conçu comme un dialogue entre plusieurs auteurs, ce livre a vocation à devenir, dans les prochains temps, le support de nombreux temps d'échanges, de dialogues, de rencontres et confrontations d'idées permettant d'accélérer et d'intensifier une nécessaire réflexion collective.
Contacts Presse :
- Marie-Catherine Henry : mchenry@msh-paris.fr 06 17 38 44 31
- Jean-Baptiste Jobard : jean-baptiste@associationscitoyennes.net 07 70 98 78 56
Ce livre collectif a été réalisé dans le prolongement de la journée d'étude acteurs-chercheurs QUEL MONDE ASSOCIATIF DEMAIN ? Des limites actuelles de l'action associative aux moyens de les dépasser, organisée le samedi 21 Novembre 2020 par le Collège d'études Mondiales, le Collectif des Associations Citoyennes le Mouvement pour l'Économie Solidaire, l'Union Fédérale d'Intervention des Structures Culturelles, le Transiscope, l'Institut Polanyi France et le Mouvement associatif.
Avec la participation de : Jean-Claude BOUAL, Julien CHANDELIER, Louisa CHERIFI, Christine CHOGNOT Antonio DELFINI, Philippe EYNAUD, Laurent FRAISSE, Idir IGOUDJIL, Philippe JAHSHAN, Michel JEZEQUEL, Jean-Baptiste JOBARD, Frédérique KABA, Marianne LANGLET, Luc DE LARMINAT, Bruno LASNIER, Quentin MORTIER, Fatima MOSTEFAOUI, Geoffrey PLEYERS, Adrien ROUX, Jérôme SADDIER, Claude SICART, Julien TALPIN
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Mots-clés Loi Sécurité Globale Mobilisation- communiqué de presse du 5 mars 2021 -
Sénatrices, Sénateurs, nous vous demandons de voter contre l'article 25 de la proposition de loi sécurité globale !
La proposition de loi relative à la sécurité globale a été étudiée ce mercredi 3 mars en commission des lois au Sénat et, hélas, malgré nos alertes, l'article 25 a été maintenu.
Celui-ci prévoit : « Art. L. 315‑3. - Le fait qu'un fonctionnaire de la police nationale ou un militaire de la gendarmerie nationale porte son arme hors service, dans des conditions définies par arrêté du Ministre de l'Intérieur, ne peut lui être opposé lors de l'accès à un établissement recevant du public. »Nos organisations rassemblent des centaines d'Etablissements Recevant du Public (ERP) : salles de concert, de spectacle, festivals, centres de formation, etc.
Si, depuis 2016, le port d'armes par les forces de l'ordre est autorisé hors service, il est alors opposable dans les établissements recevant du public, droit dont nous avons pu faire usage. Cependant, avec l'adoption de l'article 25, la présence d'armes au sein d'ERP et donc de lieux culturels serait facilitée voire banalisée, et nous y voyons un grave danger.
En effet, notre expérience au plus près du terrain nous permet d'identifier des risques extrêmement dommageables et bien plus importants que les vertus illusoires de cet article 25 : mouvements de panique à la vue d'une arme, falsification de cartes de police pour introduire des armes, risques de débordements liés à l'environnement festif et à la présence d'alcool, etc.
Aussi, à la veille de l'étude de la proposition de loi en séance au Sénat les 16, 17 et 18 mars, nous interpellons haut et fort nos représentant·e·s élu·e·s pour leur demander de s'opposer à cet article.
En aucun cas, il ne nous semble que les Françaises et les Français soient désireux de vivre dans une société armée.Nous invitons en outre tou·te·s les représentant·e·s d'ERP à nous rejoindre dans cette démarche afin d'obtenir ensemble la suppression de cet article.
Contacts presse :
- De Concert ! – Mohamed Bahnas – contact@deconcert.org – 06 12 75 99 32
- FAMDT – Alban Cogrel – alban.cogrel@famdt.com – 06 38 69 54 93
- FEDELIMA – Benjamin Fraigneau – benjamin.fraigneau@fedelima.org – 02 40 48 08 85
- Les Forces Musicales – Gaëlle Le Dantec – g.ledantec@lesforcesmusicales.org – 06 13 12 09 17
- France Festivals – Alexandra Bobes – a.bobes@francefestivals.com – 06 63 49 93 19
- PRODISS – Kathleen André – kandre@equancy.com – 06 16 55 43 05
- PROFEDIM – Aurélie Foucher – aurelie.foucher@profedim.org – 07 60 49 44 06
- SMA – Aurélie Hannedouche – dg@sma-syndicat.org – 06 99 10 75 75
- SNSP – Marianne Charpy – m.charpy@snsp.fr – 01 40 18 55 95
- SYNAVI – Muriel Guyon – direction@synavi.org – 06 72 84 46 30
- Syndeac – Vincent Moisselin – v.moisselin@syndeac.org – 06 61 96 75 59
- Technopol – Tommy Vaudecrane – tommy@technopol.net – 06 16 29 35 97
- UFISC – Patricia Coler – patricia.coler@ufisc.org – 06 73 49 74 29
- Zone Franche – Pierre-Henri Frappat – direction@zonefranche.com – 06 75 79 13 61
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Mots-clés Mobilisation
CULTURE EN DANGER : LE TEMPS DES ENGAGEMENTS !
APPEL UNITAIRE DES ORGANISATIONS DU SPECTACLE 4 MARS 2021
Les structures culturelles, en particulier celles du spectacle et du cinéma, ont été les premières touchées par des restrictions et fermetures liées à la crise sanitaire : le 4 mars prochain en sera le premier et triste anniversaire. Les artistes et techniciens intermittents du spectacle, les permanents de nos secteurs et nombre d'artistes-auteurs sont depuis privés d'une grande part de leurs activités et de leurs revenus.
Les mesures de soutien prises par le gouvernement et les collectivités territoriales, incontestables et indispensables depuis le début de la crise, n'ont cependant pas permis à une majorité des acteurs du secteur de voir compensées leurs pertes d'activités et leurs pertes économiques. La mise en œuvre de ces aides, a par ailleurs largement manqué de transparence et d'équité. À ce stade, l'emploi permanent a pu être préservé, mais l'activité partielle est intervenue minoritairement pour compenser les annulations de contrats des intermittents (14% au printemps dernier, moins de 4% en septembre, en déclin depuis). Des employeurs se voient par ailleurs refuser leurs demandes par l'administration alors que les contrats de cession ne sont pas honorés.
2021 est l'année de tous les dangers : budgets des collectivités territoriales en berne – ils sont les premiers financeurs de la Culture - et gouvernement qui réduit, mois après mois, son soutien au secteur culturel dont les restes à charge vont encore augmenter. Les perspectives de ressources propres pour l'ensemble des structures (billetterie pour les lieux et festivals, cession du droit d'exploitation pour les équipes artistiques) sont atones et les volumes d'emploi s'effondrent, aggravant le phénomène de précarité et de manque de visibilité. Une partie des artistes et techniciens intermittents du spectacle ont vu leur droit à l'assurance chômage prolongé jusqu'au 31 août 2021 et quelques mesurettes sont arrivées pour certains jeunes et une petite partie des artistes-auteurs et indépendants.
Le public s'est souvent fait entendre aux côtés des professionnels pour dire que "ce n'était pas une vie" d'être éloigné des œuvres et des artistes. Nos revendications pour la survie de nos entreprises et pour les professionnels qui travaillent avec elles sont celles d'un secteur important à la cohésion de notre société tout comme le champ du spectacle occasionnel primordial pour bon nombre d'artistes et techniciens.
Nos structures et nos salariés sont plongés dans le désarroi. Exsangues et épuisés, nous demandons à présent des décisions fermes et immédiates pour que soit permis à toutes celles et ceux qui exercent un métier culturel de pouvoir en vivre et non plus survivre, à savoir :
Une méthodologie de travail pour la réouverture dans un calendrier réaliste pour les lieux culturels, y compris ceux qui accueillent des pratiques en amateur, et un engagement sur la tenue des festivals et des spectacles occasionnels organisés dans le cadre des festivités populaires, nous permettant d'arrêter de naviguer à vue de quinzaine en quinzaine, au mépris de la santé physique et mentale des équipes.
Une réelle concertation sur un plan de relance réaliste et adapté pour accompagner la reprise d'activité qui ne pourra avoir lieu sans volontarisme et aides substantielles.
Un fonds pour l'emploi direct dédié au secteur culturel permettant un maintien du volume d'emploi (résidences de recherche ou de création, répétitions, actions de transmission, etc.), donc le maintien des compétences spécifiques à nos métiers, qui puisse aussi permettre de mener une politique volontariste d'inclusion des jeunes, et apporter un soutien à l'ensemble des artistes-auteurs et des indépendants de la culture ;
Un engagement sans tarder sur la prolongation de l'année blanche au-delà du 31 août 2021 pour tous les intermittents du spectacle ;
Une consolidation immédiate des organismes sociaux du secteur culturel (l'Afdas pour la formation professionnelle, le CMB pour la prévention et la santé au travail, la Caisse des Congés Spectacles, Audiens pour la santé et la prévoyance) durement touchés par l'absence de cotisations liée à l'effondrement du volume d'emploi. Ces droits sociaux complémentaires doivent être garantis ;
Faciliter l'accès au fonds de solidarité pour le rendre éligible à tous les artistes auteurs et mettre-en-place des mesures spécifiques telle qu'une indemnisation forfaitaire pour tous les artistes-auteurs d'un spectacle pour chaque date annulée depuis le 17 mars 2020, quand l'artiste-auteur n'a pas pu bénéficier d'un autre type d'indemnisation pour ces dates.
Une solution – qui s'est trop fait attendre – à l'impossibilité pour certains salariés et artistes-auteurs d'ouvrir des droits à un congé maternité ou un congé maladie, proprement discriminatoire, alors que l'égalité entre femmes et hommes doit être un combat encore plus actif en période de crise.
Les choix politiques dans cette période sont difficiles, nous le savons. Néanmoins, nous ne pouvons souscrire à des décisions qui réduiraient à néant l'idée même de politiques culturelles, de tentatives de déploiement vers tous les publics qui sont loin d'être achevées. L'exercice des droits culturels que constituent la liberté de création, l'accès du plus grand nombre aux œuvres de l'esprit et la citoyenneté active est indissociable du pacte républicain;
La Culture est un bien commun.
Elle est partout. Elle ouvre des voies, offre des perspectives, appelle à réfléchir sur soi, sur les autres, sur le monde. Elle est un espoir.
Nous allons la défendre. Nous ne voulons plus d'effets d'annonce, nous voulons des engagements ! Notre volonté d'exercer nos métiers et d'en vivre est aussi celle de maintenir le dialogue avec le public.
Le 4 mars, tous les acteurs du monde culturel seront à nouveau mobilisés !
Paris, le 25/02/2021
>> Le site de la mobilisation : www.culture4mars.fr
>> Tous les rendez-vous : ICI
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Mots-clés Mobilisation
Contre l'autorisation du port d'armes dans les établissements culturels,
et plus largement dans tous les établissements recevant du publicCommuniqué de presse du 15 février 2021
La proposition de loi relative à la sécurité globale a déjà fait grand bruit lors de son étude à l'Assemblée nationale il y a quelques semaines. Celle-ci est à présent sur le point d'être étudiée au Sénat et nous souhaitons interpeller haut et fort au sujet de son article 25.
Celui-ci prévoit en effet : « Art. L. 315‑3. – Le fait qu'un fonctionnaire de la police nationale ou un militaire de la gendarmerie nationale porte son arme hors service, dans des conditions définies par arrêté du Ministre de l'Intérieur, ne peut lui être opposé lors de l'accès à un établissement recevant du public. »
Nos organisations rassemblent des centaines d'Établissements Recevant du Public (ERP) : salles de concert, de spectacle, festivals, centres de formation, etc. Ces établissements accueillent des centaines de milliers de spectateur·trice·s chaque année : ce sont des espaces pacifiques de fête, de rencontre, d'échanges, de création de lien social et d'expression artistique. Selon nous : aucune arme n'y a sa place.
Si, depuis 2016, le port d'armes par les forces de l'ordre est autorisé hors service, il est alors opposable dans les établissements recevant du public, droit dont nous avons pu faire usage. Cependant, avec l'adoption de l'article 25, la présence d'armes au sein d'ERP et donc de lieux culturels serait facilitée voire banalisée, et nous y voyons un grave danger.
D'abord parce qu'introduire des armes dans un espace festif est extrêmement dangereux. Une arme qui serait mise à découvert par inadvertance pourrait avoir des conséquences dramatiques.
Mais aussi parce que nos équipes et nos agents de sécurité privés ne sont absolument pas en mesure de contrôler la validité d'une carte de police, possiblement falsifiable. Rien de plus simple, dès lors, pour qui souhaiterait commettre une tuerie de masse.
Enfin, parce qu'un policier en civil qui n'est pas en service est un citoyen comme un autre, et que les citoyens demeurent libres et égaux en droits, nous voyons dans cette différence de traitement une atteinte aux principes fondateurs de notre République.Ainsi, il nous semble que les bénéfices que représenterait l'élargissement de l'autorisation du port d'armes au sein des ERP sont très nettement à relativiser au regard des lourds risques ainsi induits.
Les festivals et salles de spectacle que nous représentons mettent tous en place, en collaboration étroite avec les services de l'État, des dispositifs de sécurité drastiques, qui ne cessent d'être renforcés depuis 2015.
En effet, nous nous positionnons comme des organisateur·trice·s responsables et ne minimisons à aucun moment les risques que peuvent encourir les publics que nous accueillons dans nos établissements.Aussi, plutôt que d'élargir l'autorisation du port d'armes dans ces ERP, il nous semble nettement préférable de renforcer ces collaborations pertinentes et fructueuses entre professionnel·le·s de la culture et forces de police et de gendarmerie sur le terrain afin d'offrir une sécurité optimum aux publics.
C'est pour toutes ces raisons que nous sommes en opposition totale avec l'article 25 de la proposition de loi sécurité globale et que nous enjoignons nos représentantes et représentants élu·e·s au Sénat à voter contre cet article.
Nous invitons en outre tou·te·s les représentant·e·s d'ERP à nous rejoindre dans cette démarche afin d'obtenir ensemble la suppression de cet article.
Contact presse :
- De Concert ! – Mohamed Bahnas – contact@deconcert.org – 06 12 75 99 32
- FEDELIMA – Benjamin Fraigneau – benjamin.fraigneau@fedelima.org – 02 40 48 08 85
- Les Forces Musicales – Gaëlle Le Dantec – g.ledantec@lesforcesmusicales.org – 06 13 12 09 17
- France Festivals – Alexandra Bobes – a.bobes@francefestivals.com – 06 63 49 93 19
- PROFEDIM – Aurélie Foucher – aurelie.foucher@profedim.org – 07 60 49 44 06
- SMA – Aurélie Hannedouche – dg@sma-syndicat.org – 06 99 10 75 75
- SNSP – Marianne Charpy – m.charpy@snsp.fr – 01 40 18 55 95
- Syndeac – Vincent Moisselin – v.moisselin@syndeac.org – 06 61 96 75 59
- Technopol – Tommy Vaudecrane – tommy@technopol.net – 06 16 29 35 97
- UFISC – Patricia Coler – patricia.coler@ufisc.org – 06 73 49 74 29
>> Télécharger le communiqué.
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Mots-clés Mobilisation
Nous sommes solidaires de toutes celles et ceux qui œuvrent à prendre soin de l'autre, à nouer des relations dignes, à protéger et soutenir. Dans un monde marqué par l'inquiétude, l'angoisse, parfois le rejet de l'autre et l'isolement, il nous faut porter, avec ambition et espoir, le respect des dignités, des libertés, de l'interdépendance et du partage, d'une démocratie impliquant réellement ses citoyen·ne·s.
Dans ce contexte difficile, l'art et la culture permettent de partager le sensible, créent des écarts poétiques, tissent du lien, nouent entre elles des expériences humaines, aident à conter des regards et des récits, considèrent les diversités...
Aujourd'hui les équipes artistiques, collectifs d'arts visuels, groupes de musique, lieux intermédiaires, fabriques, théâtres et lieux de musique, médias citoyens, écoles... s'interrogent : comment continuer à défendre et entretenir la liberté d'expression et de création et favoriser la participation de tou·te·s à la vie culturelle ? Pourquoi ne peuvent-il·elle·s pas être plus actif·ve·s alors que la société a tant besoin de ces relations et expressions cruciales ?
Les annonces présidentielles et gouvernementales concernant les activités artistiques et culturelles s'enchaînent de manière erratique, sans perspective. Alors que le Conseil d'Etat reconnait l'atteinte aux libertés d'expression et de création, alors qu'aucune donnée ne vient contredire la réalité de la sécurité sanitaire des lieux culturels, alors que d'autres établissements, nombreux, sont ouverts, que les transports publics et que les commerces continuent d'exercer, ne sont annoncées que des perspectives lointaines pour les activités culturelles, pourtant propices à une convivialité responsable et souhaitée par tou·te·s.
Monsieur le président, Mesdames et Messieurs du gouvernement, nous vous le demandions déjà en avril : est-ce trop demander que de la cohérence ? Nous pourrions ajouter : de l'équité et du respect ?
Nous plaidons pour plus de confiance vis-à-vis des professionnel·le·s et des citoyen·ne·s. Nous demandons un soutien pour que nous puissions travailler, partout où cela est possible, dans le respect de la protection des personnes.
Alors que les difficultés vont encore s'accroitre pour les entreprises, les salarié·e·s, les indépendant·e·s, les auteur·e·s et tou·te·s les professionnel·le·s, que les effets en cascade se font sentir dans tout l'écosystème culturel, nous voulons que l'activité des équipes puisse être maintenue, et en particulier celles des équipes artistiques, collectifs d'artiste, ensembles et groupes, structures de production. Face à la crise, nous avons pensé de nouvelles démarches, pour renforcer les coopérations et les solidarités sur les territoires. Nous les avons décrites dans nos propositions pour un Plan de revitalisation culturelle.
Pour cela, nous avons besoin d'aides directes à l'emploi à travers un soutien massif à l'emploi artistique et technique, pour les répétitions, résidences, laboratoires, enregistrements... Nous avons besoin d'un appui aux milliers de petites structures, entreprises et associations, indépendants et prestataires. Dans ce contexte d'un secteur culturel sinistré, la garantie de l'emploi et des droits sociaux par le maintien de l'activité partielle, du fonds de solidarité, l'allongement des protections de l'assurance chômage, de la formation, de la santé est un préalable pour tou·te·s.
Parce que L'art est public,
Parce que l'art et la culture sont plus qu'essentiels,
Nous soutenons et nous nous associons aux mobilisations du 19 janvier prochain, et appelons à se rassembler partout en France avec l'ensemble des acteur·rice·s artistiques et culturel·le·s pour faire face à cette crise dans la coopération et la solidarité !
>> Les rendez-vous :
- Paris : rassemblement à 12h00 Place de l'Opéra (750019)
- Marseille :12h00 Cité de la Musique pour le départ du cortège revendicatif vers divers lieux de culture
- Lyon : 12h30 devant l'Opéra pour une déambulation devant divers lieux de culture
- Bordeaux : 12h00 devant l'Hotel de Région, 14 rue François de Sourdis.
- Nantes : 12h00 Place du Maréchal Foch
- Poitier : 11h00 devant le TAP
- Rennes : 12h00 devant l'Opéra, Place de la Mairie
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>> Voir la carte des mobilisations partout en France : https://www.google.com/maps/d/u/0/viewer?mid=1JrE4A8UABmFoPeKNjOIL1kzMH0EjD8Av&hl=fr&ll=45.80947984318729%2C2.1631222999999986&z=6
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Mots-clés Droits culturels Webinaire
Droits culturels : de la parole aux actes
Les agences Auvergne-Rhône-Alpes Spectacle Vivant et Auvergne-Rhône-Alpes Livre et Lecture, en partenariat avec l'UFISC, proposent de s'emparer de la notion de « droits culturels », et de voir comment ceux-ci permettent de penser et agir différemment au sein du secteur culturel.
Des rencontres, temps d'échange et de travail collectif, ainsi que des interviews croisées d'actrices et d'acteurs, sont proposées dans ce cadre à partir de juin 2020 et sur l'année 2021.
Les rencontres
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A venir ! Webinaire du 26/01/21
Cinq ans après l'introduction des droits culturels dans la loi NOTRe, comment les collectivités locales favorisent-elles leur exercice ? Comment les droits culturels infusent-ils les politiques publiques locales ?
Ce webinaire croisera des témoignages d'élu.es et d'agents culturels de collectivités. Ces échanges d'expériences feront l'objet d'interrogations et de mises en perspective par des personnes accompagnant les politiques publiques à un endroit différent (Etat, association, syndicat), de façon à donner à voir différentes façons de mettre au travail les droits culturels dans les politiques publiques.
>> En savoir plus et s'inscrire.
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Rencontre du 13 novembre 2020, journée d'échanges et de mise en travail collectif >> reportée au 8 juin 2021 au Château de Goutelas – 42)
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Introduction aux droits culturels - 1ère rencontre du 04/06/2020
Pendant cette première rencontre du 4 juin dernier, Cécile Offroy et Réjane Sourisseau, auteures du rapport « Démocratisation, démocratie et droits culturels », nous ont parlé de la notion de droits culturels comme nouveau paradigme, et de leur inscription dans les droits humains.>> Voir la vidéo du webinaire.
Les "Pas de coté"
Une série d'interviews croisées présentant des initiatives en dehors du secteur artistique (santé, urbanisme, éducation populaire, écologie...) en parallèle d'initiatives culturelles.
Une mise en lumière de pratiques inscrites dans la démarche des droits humains dans les autres champs professionnels.
Un "pas de côté" pour montrer en quoi les droits culturels sont avant tout un changement de regard porté sur les personnes.Voir les 5 épisodes :
- #1 Pas de coté vers l'éducation populaire
- #2 Pas de coté vers l'écologie
- #3 Pas de coté vers l'urbanisme
- #4 Pas de coté vers l'action sociale
- #5 Pas de coté vers le numérique
>> En savoir plus sur cette démarche et accéder à toutes les ressources.
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Webinaire "L'action culturelle sous épidémie"
Jeudi 21 janvier 2021 | 14h30-16h00
>> Mise à jour : le webiniare est à (re-)voir ici : https://vimeo.com/503543067
Pour « garder le contact » dans le cadre de ses fonctions non-essentielles, l'action culturelle a généré un nombre important d'initiatives propices au lien avec tous les publics. Bien sûr, le contexte sanitaire modifie en profondeur l'approche, les moyens et l'organisation des actions d'éducation artistique et culturelle, de médiation ou socio-culturelle.
Nous vous convions prendre part à ce temps d'échanges, pour formuler les principaux constats, comprendre les enjeux et tisser quelques perspectives pour les mois à venir sur ce thème.
Avec les contributions de :
- Marianne Delestre Calvayrac, Déléguée académique à l'éducation artistique et à l'action culturelle, conseillère de la Rectrice de l'Académie de Versailles.
- Julien Daillère, Auteur, comédien, metteur en scène et docteur en arts du spectacle, initiateur du programme de recherche La Marge Heureuse.
- Lila Giraud, Responsable des relations avec les publics chez Anis Gras - Le lieu de l'Autre.
- Vincent Dhélin, Metteur en scène, délégué général Hauts-de-France du SYNAVI, Syndicat National des Arts Vivants.
Vous aurez la possibilité d'intervenir par messagerie instantanée durant le webinaire.
Après votre inscription un formulaire facultatif vous sera transmis, pour recueillir en amont de l'événement vos questions, vos remarques, vos éventuelles contributions.
Inscription : https://framaforms.org/inscription-au-webinaire-laction-culturelle-sous-epidemie-1610372290 (le lien vers le webinaire vous sera envoyé par email la veille).
Ce webinaire, organisé par l'UFISC et Opale CRDLA Culture, est proposé par le Groupe de Travail Ressources et Accompagnement de la MCAC (Mobilisation et Coopération Art et Culture) dans le cadre d'un cycle de webinaires pour accompagner les acteur·ice·s culturel·le·s et artistiques, et construire préconisations et ressources.
Programme des webinaires à venir :
- jeudi 11 mars de 14h30 à 16h : webinaire "Prévention des risques psycho-sociaux & économiques"
- jeudi 29 avril de 14h30 à 16h : webinaire "Relations aux collectivités publiques"
L'UFISC (l'Union Fédérale d'Intervention des Structures Culturelles), ses membres, Opale / CRDLA Culture et plusieurs organisations, réseaux, fédérations, se sont associés au début de l'épidémie de COVID-19 en créant la MCAC - Mobilisation et Coopération Art et Culture. Nous nous mobilisons auprès des structures artistiques et culturelles en France pour faire face à l'impact de cette épidémie. Nous nous organisons afin de pouvoir remonter les informations, réaliser la veille et construire les ressources nécessaires pour venir en appui des structures artistiques et culturelles.
>>En savoir plus : http://ufisc.org/item/357-infos-covid-19.html
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Mots-clés recrutement
L’UFISC recrute un·e chargé·e de mission (CDD 8 mois à temps plein)
Dans le cadre du projet européen AJITeR : « Faciliter l’Accueil des Jeunes adultes et de leurs Initiatives en Territoires Ruraux »
Démarrage de la mission immédiat
Les territoires ruraux sont confrontés au défi de faciliter l’installation durable des jeunes adultes, qui construisent leur parcours de vie entre 18 et 35 ans. Ils doivent pouvoir s’appuyer sur une compréhension plus fine des nouvelles pratiques qui s’adressent à ces jeunes adultes en matière d’emploi, d’amélioration de la qualité́ de vie, notamment à travers l’accès aux services, et d'approfondissement de la participation citoyenne.
Dans le cadre du projet européen AJITeR « faciliter l’Accueil des Jeunes adultes et de leurs Initiatives en Territoires Ruraux », l’UFISC recrute un·e chargé·e de mission pour participer aux actions à réaliser entre janvier et août 2021.
Description du poste
Dans le cadre de ce projet AJITeR, le·la chargé∙e de mission devra mener à bien les actions suivantes :
- L’appui à l’organisation d’événements, de séminaires et/ou d’ateliers participatifs ainsi que des comités de pilotage et groupes de travail (invitations, communication, programme, contenus, logistique…) ;
- L’appui à la gestion administrative et budgétaire du projet AJITeR (cadre de fonds européens FEADER) ;
- L’appui à la communication et à la capitalisation du projet AJITeR.
Sur cette 3ème année de projet, le∙la chargé∙e de mission sera notamment en appui à la mise en œuvre d’un programme de formation à destination d’élu·e·s et de technicien·ne·s des collectivités territoriales, à la mise en place de groupe de travail spécifiques autour de la ruralité et de la jeunesse et à l’élaboration d’un plaidoyer sur « l’agir en territoires ruraux ».
Le·la chargé·e de mission travaillera sous la responsabilité de la déléguée générale et de la chargée de projet qui pilote le projet AJITeR et en lien avec le chargé d’étude AJITeR.
Il·elle aura pour mission d’assurer, en lien avec l’équipe et le comité de pilotage « Ajiter par la culture ! », les fonctions suivantes :
1. L’appui à l’organisation d’événements, de séminaires, de groupes de travail et/ou d’ateliers participatifs (invitations, communication, programme, contenus, logistique…) :
- Organisation et participation à l’animation des événements et des séminaires ;
- Animation de groupes de travail et/ou ateliers en lien avec les structures mobilisées et rédaction d’analyses et synthèses ;
- Gestion logistique et inscriptions ;
- Rédaction de comptes-rendus et productions écrites.
2. L’appui à la gestion administrative et budgétaire du projet AJITeR (fonds européens FEADER) :
- Appui à la gestion du budget analytique du projet AJITeR ;
- Suivi et gestion des facturations des prestations liées au projet AJITeR et des justificatifs de temps de travail.
3. L’appui à la communication et à la capitalisation du projet AJITeR :
- Mise à jour régulière du site Internet www.ajiterculture.org ;
- Communication (invitations ciblées, newsletters, réseaux sociaux, etc.) ;
- Rédaction de synthèse et de documents de communication ;
- Veille informative et sur les événements en lien avec la ruralité et/ou la jeunesse en France et en Europe ;
- Capitalisation des travaux de l’UFISC sur site Internet du groupement AJITeR ajiter.fr et participation aux temps de réflexion sur la capitalisation du projet avec le groupement AJIteR ;
- Gestion de la base de données de contacts liés au projet AJITeR.
Compétences requises :
- Bonne capacité de synthèse, aisance rédactionnelle ;
- Expérience organisationnelle de temps de rencontres / ateliers (logistique, communication…) ;
- Expérience en gestion de projets ;
- La connaissance de la gestion administrative, budget analytique et règles des projets européens est un plus ;
- Maîtrise de l’outil informatique et de communication (traitement de texte, BDD, publication internet, outils de communication) ;
- Intérêt pour les questions de ruralité et de jeunesse ;
- Connaissance et intérêt pour le secteur culturel, du secteur associatif et/ou de l’Economie Solidaire.
Modalités :
- Embauche en CDD de 8 mois à temps plein (télétravail possible en fonction du contexte) ;
- Déplacements ponctuels à prévoir (événements, ateliers, séminaires...) ;
- Convention CCNEAC (rémunération en fonction de l’expérience et du profil), tickets restaurant.
Information et contact :
Envoi de votre CV et d’une lettre de motivation d’ici le 20 janvier 2021 par mail à l’attention de Mme Laure HUBERT-RODIER, contact@ufisc.org.